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 Llewleynn [Chien-Chien]

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Llewelynn
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Llewelynn


Féminin
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Age du personnage: 148
Espèce: Vampire
Magie:

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MessageSujet: Llewleynn [Chien-Chien]   Llewleynn [Chien-Chien] Icon_minitimeSam 22 Déc - 0:10

I.Informations Préliminaires :

Nom : Aucune importance
Prénom : Llewelynn
Surnom : Lynn ou Llew
Âge : 148
Magie : Téléportation
Poste : Chien-chien de la guerre
Génération : 7
Lignée : Tytanique
Espèce Sorcière
Origine : Castel
Clan : Aucun, elle ne fait que suivre La Guerre.

II.Informations du personnage :

Description Physique

Belle. D' une beauté étrange, oui, une beauté inabituelle, une beauté qui dégage une telle froideur qu' on en frissonerait rien qu' en la regardant.
Ses yeux vert, vert percant, d' un vert si intense qu' il semble avoir été tiré de l' émeraude la plus pure, de la nature elle-même dans un de ces plus beau jour, et éblouissants de froideur, mais qui peuvent aussi se parsemer de candeur.
En effet, dire que les yeux sont le refletsde l' âme serait une erreur pour Llewelynn. Capable de changer ses expressions de paroles, même ces tics normalement inconscient que La Guerre lui a révelés, l' adolescente, qui n' a rien d' un de ces énergumènes en recherche d' un soi interieur et en période de doute constant, est bien évidement capable de faire refléter ce qu' elle souhaite dans ses yeux éclatant d' authencités. Elle s' amuse souvent d' ailleurs, à porter des lentilles de differentes couleurs, du rose bonbon au maron glacé, en passant par l' écarlate rouge.
Vous vous doutez bien que ces yeux ne flottent pas dans l' air à la recherche d' un visage asssez beau pour les porter. Ils sont posés, ces deux étoiles scintillantes du grand Nord, sur un visage au teint de neige, un teint ayant gardés une pureté de l' enfance, un teint qui s' accorde à merveille avec ces yeux si froids et si adultes. Ses lèvres, d' un rose enfantin dénudé, qu' elle cache avec un rouge profond, un rouge attirant, remplis de reflets scintillants, un rouge légerement collant, mais doux, un rouge qui fait penser à la couleur du sang dont Llew se délecte parfois. Son visage, finalement, son visage qui a gardé un air de l' enfance passé, ce visage doux, beau, incroyablement beau, épatant oeuvre d' orfèvre, est d' après elle, le plus beau du monde.
Ses cheveux, qu' elle a coupé assez court dernièrement, au niveau des oreilles, sont constament prolongés par des postiches qu' elle fabrique elle-même la plupart du temps. Blonds, ils sont doux, assez fins. Avec l' humidité, ils prennent un volume qui entoure parfaitement son visage fin, mais reste pour la plupart du temps assez plats, mais pas trop, pas comme les spaguettis qu' osent porter le communs des mortels. Ils sont plutôt courants finalement, mais restent beau, et par les poses sophistiqués que leur fait adopter Llew, interressants. Elle les colore souvent, pour qu' ils soient accordés à ses yeux changeants.
Et ce corps. Ce corps, qu' elle adule, et elle n' est pas la seule à le faire. Sa silhouette étirée, n'est ni maigre ni large, juste fine, discrete, un courant d' air qui laisse un doux parfum, qui attire le regard. Son cou, blanc et si long qu' on se demande comment il fait pour supporter sa tête à longueur de journée, est fin et appétissant, tellement que Llew a quelque fois envie de se mordre elle même. Elle le ferait si seulement, si seulement c' était possible. Mais elle ne permet pas que les autres la goutent. Seul La Guerre aurait eu ce privilège, si elle pouvait l' avoir. Ses épaules, frêles, légerement fuyantes, restent hautes et fières. Ses bras aux gestes fluides, sont néanmoins assez fins pour donner l' impression qu' elle pourrait avoir d' aide, mais pas assez pour qu' on accoure à son secours. Ses mains, aux doigts délicatement délicats sont prolongés par des ongles durs et longs, qu' elle s' amuse à planter dans le dos de La Guerre pendant leurs ébats. Magnifique, parsemés de creux savament placés, de monts attirants, le torse de Llewelyn est l' une des premieres choses qu' on remarque chez elle, parmis tout les choses à remarquer. Sa poitrine, ni trop grosse, ni trop petite, est douce et relevé. Je crois que le jour où un crayon tiendra sous un des seins de la jeune fille, elle se suicidera. Sa poitrine, ses deux seins si beaux, rêveries de tout homme et de quelques femmes, sont sa fierté. Son ventre, légerement bombé au niveau de son nombril, le centre de son monde après celui de sa maitresse, reste plat et musclé malgré toutes les sucreries dont la jeune fille se délecte. Ses hanches, ses reins chutent merveilleusement vers ses jambes si longues. Ses os ressortent légerement et donnent encore un peu plus d' érostisme à ce corps qui semble avoir été crée pour l' amour. Ils descendent jusqu' à son sexe au goût de fraise, qui lui même s' efface pour laisser place à ses jambes. Longues, douces, bien proportionnés, un peu muslcés, assez pour donner le plaisir necessaire, le jouet qu' est Llewelynn possède des jambes que toute femme pourrait envier, que tout homme pourrait désirer.
Pourtant, le Chien ne les montre pas tellement. Ce n' est pas par peur d' avoir foid, au contraire, car il pourrait bien faire -2 et la jeune fille porterait un décolleté à se perdre dans sa profondeur. Non, c'est tout simplement car La Guerre est quelqu' un de possessif. Et que Llew ne souhaite pas attirer son courrou. Quand cela lui arrive, car elle aime jouer avec le feu, alors elle porte des jupes si courtes qu' on se demande si ce ne serait pas un bandeau. Et le mystère est comment Llew fait pour marcher avec sans que jamais on ne voit ses sous vêtements si osés...


Description Morale

C'est peut-être parce qu' elle a trop fréquentée La Guerre qu' elle est devenue comme ca... Mais si l' on remonte dans les méandres de sa personnalité, on se rend bien compte que tout ces vices étaient cachés en elle...

Ces vices, c'est à dire qu' elle est si odieuse. Si cruelle. Si égoiste et narcissique. Si fière. Si perverse. Si manipulatrice.
Odieuse, oui. Llewelynn est quelqu' un d' odieux, qui prend les gens de haut. Elle ne leur dira jamais, mais toujours les méprisera. Ce ne sont que des pions manipulés par elle, La Mort, l' Imperatryce, l' Imperator. Ils n' étaient même pas dignes de l' attention que leur portait quelque fois La Guerre. Ce ne sont que des souris, détestables, inutiles, qui ne servent que de jouets, que l' on tue après utilisation.
Cruelle, oui. Car tout ce qui résulte de ce qu' elle dit, Llewelynn s' en délecte. Surtout de la souffrance. Elle en profite, elle en jouit comme si c'était le plus beau cadeau qu' on pouvait lui faire, souffrir à cause d' elle.
Egoiste, narcissique, oui. Llewelynn ne pense qu' à elle. A son propre plaisir, à ses réaction, à sa beauté glaciale et magnifique. De toute facon, ils sont si faciles à manipuler. Autant en profiter pour elle, puisqu' elle est si importante, belle et tout simplement douée. « On n'est jamais mieux servit que par soi-même » est un proverbe qu' elle n' a jamais compris. Pourquoi se fatiguer si d' autres peuvent le faire à notre place ?
Fière, oh oui. Malgré son statut qu' on pourait prendre pour humiliant, Llewelynn est plus que fière de ce qu' elle est. Si elle est d' humeur joyeuse, elle se présente même comme « Chien-chien de La Guerre », de cet air fier et hautain qui lui siet si bien. Si elle est de mauvaise humeur, elle s' amusera à enerver cette dernière, fière d' être la seule devant qui La Guerre pouvait passer du plaisir etrême à une colère terrible. Elle est tellement heureuse de ce qu' elle est. Qui peut donc bien se féliciter d' avoir avec l' une des divinités les plus insaisissables une relation comme celle qu' elle a avec La Guerre ? D' être considéré presque comme son égale ? D' avoir recu comme maître son entité en personne ? Et quelle divinité peut bien prétendre avoir une personne vers qui retourner, qui attend sagement dans son lit, qui est toujours là en cas de coup dur, dès qu' on a besoin d' elle, qui accourt quand on la siffle ? Peu, bien peu. Llewelynn est fiere de ce qu' elle est autant que son maître est fière de son élève, de son jouet, de son Chien.
Perverse, oui. Llewelynn est perverse dans tous les sens qu' on peut trouver au mot pervertise. Au lit, bien évident, comme en dehors, elle aime à jouer de ses charmes derrière un visage qu' elle peut rendre innocent et des allures candides. Mais perverse aussi par la jouissance qui exulte de la souffrance des autres, perverse à travers tous ses défaults.
Et manipulatrice. Manipulatrice, oui, tellement. Llew est une jeune fille qui aime que les gens fassent ce qu' elle veut. Ces désirs sont des ordres. Et elle fait en sorte que ces ordres soient percus et executés. Et pour cela, elle est prête à tout. Toutes les approches sont bonnes, toutes les manières sont délicieuses à utiliser. Pour qu' un jeu soit agréable, il faut bien qu' il soit varié. Mais il y a une manière que la Chienne de La Guerre priviligie à toutes les autres. C'est endosser ce costume. Ce costume qui n' en était pas un il n' y a pas si lontemps, et c'est surement pour ca que Llewelynn est si crédible quand elle joue dans cette catégorie.

Gentille, Agréable, Candide, Innocente, Douce, Sincère et authentique, voilà ce que Llew aime faire croire qu' elle est. Un jeu, un jeu avec une chute cruelle, quand le masque tombe et que les rats pris dans son piege couinent. Car la jeune fille s' en bien rendue compte que c' était cela qui rapportait. Que l' innocence payait. Alors, elle apprit, avec la précieuse aide de La Guerre, à tout refouler, à tout cacher, pour mieux obtenir ce qu' elle voulait, pour mieux faire souffrir.
C'est grâce à Enyo qu' elle a reussi à devenir un maître en la matière. Si elle en fait le choix, il est impossible de déceler cette ironie qui est constante chez l' adolescente. Tout simplement parce que lorsqu' on recoit comme enseignement celui de La Guerre en personne, on ne peut être que doué.
Enfin, il se trouve que Llewelynn avait des prédispositions, cachées, enfouies, que seule la divinité a su déceler. Et comme l' odieuse adolescente lui en ai reconnaissante d' avoir su voir au delà des apparences et revéler ce qu' elle pense être sa vraie personnalité.


Particularité Physique et/ou morale : Llewelynn a un tatouage noir et rouge qui remonte sur ses os du bassin jusqu' à son nombril en une forme de coeur tentateur.


III.Biographie

Llewelynn ne porte aucune importance à sa morsure. Elle a été mordue. Point final. Elle avait comme les autres, ressentit cette sorte de douleur exaltante qui l' avait tranportée. C'est tout. Pas besoin d' en faire un plat. Elle ne comprenait pas le fait que les vampires restent souvent des années à se souvenir de cet instant qui aurait « tranformé » leur vies.
Si Llewelynn pense cela, c'est tout simplement parce que sa vie a été chamboulée, mais ce n' est pas du tout en rapport avec cet instant. Sa vie a été chamboulée avec une forcebien plus puissante, une force destructrice, qui avait tout dévasté sur son passage, que cela avait totalement changé l' enfant calme qu' était Llew. Cette tempête se nommait Enyo.

Llewelynn était une de ces enfants des rues comme on en voyait partout, une de ces petites crasseuses qui vivait d' un guignon de pain, d' un peu de chaleur, mais surtout de souffrance continuelle. Elle n' était qu' une ombre, une ombre qu' on ne remarque pas. Contrairement à ses semblabes, l' enfant ne cherchait pas à attirer l' attention en volant ou en jouant bruyament. Elle ne cherchait pas à attirer la pitié qui lui aurait permis de manger preque à sa faim. Elle se demandait même, certains jours, si elle vivait vraiment. Si elle existait. Elle avait l' impression d' être tranparente. Totalement. On lui avait déjà dit qu' elle était belle. Mais comment être belle quand on est une enfant de dix ans aux joues creuses et aux côtes saillantes ?
C' était un de ses amis éphemère qui le lui avait dit. Il le lui avait dit, simplement, tout simplement : « Tu es belle ». Mais peut-on vraiment croire un ami, un gamin des rues qu' on n' avait connu que quelques jours, qui n' était son ami que pour la nourriture qu' elle lui apportait à la sueur de son front ?
Non, et Llewelynn, du haut de ses dix ans, le savait parfaitement. C' était sûrement pour cela qu' elle semblait si à part. Parce qu' elle ne cherchait pas, comme le commun des mortels, à connaître ces sentiments « enivrants » que sont l' « amour », l' « amitié ». L' amitié n' existait pas dans ce monde. L' amour encore moins. Llew en était persuadé. Comme une formule magique pour supporter ces images d' enfance heureuse et de veillesse épanouie qu' elle voyait tous les jours dans les rues de Nightmare. Pour supporter le bonheur des autres, l' enfant se persuadait que ce bonheur n' était qu' illusion. Et à force de ce répeter que ' amour n' existe pas, on en vient à ne plus s' aimer soi-même, à renier son existence. A être absent.
Et Llew l' était constament. Toujours ailleurs. A la recherche d' un autre monde inaccessible. Comme pour oublier la faim qui lui tiraillait le ventre, la souffrance qu' elle voyait, le sang qui l' éclaboussait dans ces sombres ruelles, pour oublier sa vie enfin, sa vie qu' elle détestait. Pourquoi vivait-elle ? Et vivait-elle seulement ? Ces questions sans réponses l' empechaient souvent de dormir. A moins que ce ne fut le froid. Peu importe. Peu importe.
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MessageSujet: Re: Llewleynn [Chien-Chien]   Llewleynn [Chien-Chien] Icon_minitimeSam 22 Déc - 0:12

Mais on ne peut pas vivre éternellement ainsi. Un jour, tout changea. Llew avait alors treize ans. Elle avait été mordue à onze ans, dans une ruelle, furtivement, comme une chose honteuse que l' on cache. Cela n' avait pas changé la vie de l' enfant. Elle avait seulement quelques fois des envies de sang. Bien. Il y en avait tellement, du sang, il y en avait même trop à Nightmare, qui coulait des murs, qui stagnait dans des flaques. Au moins, depuis que ces envies la prenaient, Lynn avait l' impression de vivre. C' était déjà ca.
Elle avait donc treize ans. Mais on ne pouvait pas appeler l' enfant une adolescente. L' adolescence, période de transition, de questionnement sur soi-même autant que sur les autres, ne pouvait pas s' attribuer à l' enfant. Etait-ce de l' innocence, cet air absent et insensible, ou bien au contraire, une trop grande maturité ?
Llew n' en savait rien, je ne sais pas si à l' époque, elle s' était déjà seulement vue dans un miroir. En tout cas, cela ne l' interressait pas. L' important, c' était d' essayer de ne pas crever de froid, de ne pas se faire égorger dans une ruelle ou violer dans un coin. Quel adolescent a de tels préocupations ? Très peu, et ceux là ne sont plus des adolescents depuis bien lontemps.
Llewelynn marchait dans les rues au hasard. Ses vêtements un peu trop petits pour elle laissaient apparaître ses jambes galbés, sa poitrine grandissante et malgré la crasse inscrustée dans ses pôres, la couleur de sa peau incroyablement blanche. L' heure avancée rendait les rues peu fréquentables, mais la jeune fille ne s' en souciait pas. Elle ne mourrait pas ce soir. Elle le sentait. Ne me demandez pas comment elle le savait, qu'est-ce qui lui faisait dire une telle chose, je n' en sais rien. Peut-être une certaine odeur dans l' air ? Une ambiance particulière ? Peu importe. Llew n' avait pas peur et marchait fièrement.

Un bruit attira son attention. Elle s' arreta, aux aguets. Et c'est là qu' elle la vit. Cette tempête qui bouleversa sa vie. Elle était si bellle. La plus belle au monde. Ses longs cheveux d' un noir de jais, parcourus de reflets bleutés, volaient derrière elle au gré de ses mouvements fluides. Ce visage triangulaire aux traits si fins, cette bouche attirante, ces yeux inquietants, si noirs et profonds, ce teint si parfaitement immaculé, tout dans le visage de la femme fascina l' enfant. Ce corps enfin, son corps, le plus beau que Llewelynn n' avait jamais eu le plaisir d' observer, ce corps pour finir, qui semblait appartenir à un autre monde tellement il était beau. Ces jambes longues et fines, ce coup de cygne, ces bras encore plus et ces mains, qui malgré leur incroyable délicatesse tenaient fermement une lance de bois de rose à la pointe d' or qui rayonnait au soleil couchant.
Llewelynn resta quelques minutes, appuyée au rebord d' une fenêtre, à regarder cet être qu' elle n' oserait nommer. Les battements de son coeur résonnaient dans tout son corps. Du sang jaillissait, éclaboussait les murs de la maison crasseuse, et la femme riait, riait d' un rire effrayant en tuant à grand coup tous les habitants de la masure. N' importe qui dans Nightmare aurait reconnu ici la célebre divinité. Et n' importe qui serait partit en courant de peur de se prendre un coup de lance, et de mourir la tête roulant sur le pavé déjà imbibé de sang. Mais la jeune fille, appellez ca folie ou courage, ne cilla pas. Le sang, elle en avait déjà vu. Des morts aussi. Et si elle devait mourir de la main de cette si belle femme, ce n' était pas grave. Ce serait sûrement la plus belle mort au monde.

De ses yeux pâles et absents, Llew regardait La Guerre tuer. C' était tellement beau. Le sang se déposait avec volupté sur ses habits, s'incrustait délicatement, l' odeur écourante emplissait toute la ruelle, et Llewelynn s' en délectait. Pour la première fois de sa vie, elle se sentait vraiment vivante. Peut-être parce qu' elle était un vampire et que jamais elle n' avait sentit l' odeur enivrante d' un sang si frais. Quoiqu' il en soit, quand elle recut un peu de sang sur sa joue, l' enfant sourit innocement, et lécha avec une extrême délicatesse, comme si la belle femme venait de lui faire le plus beau des présents, le sang déliceusement chaud. Elle eut envie de rire, pour la première fois, ce sentiment la prit toute entière. Que ce soit de la folie, de la joie, ou même de l' exaltation devant tout ce sang, peu importe. Llewelynn voulait rire, et c' était la première fois de sa vie.
Alors, elle rit. Du même rire machiavélique qu' avait utilisé la belle femme auparavant, l' enfant rit. A ce moment là, ce n' était plus une enfant. Ce n' était même plus Llewelynn. Son rire emplit la ruelle avec une force qui la surprit elle-même. Que c' était bon de se faire entendre. Ses yeux se rouvrirent, d' un tout autre éclat. Ils n' étaient plus de ce bleu absents, non. Ils étaient verts, verts éclatant, vert émeraude, un vert profond rempli de cruauté digne de La Guerre elle-même. La jeune fille sourit. La belle femme la regardait. Elles avaient presque le même sourire, ce sourire rempli de prestance, de d' égoisme, de soif de sang et de narcissisme réunis. Elles n' avaient pas la même beauté, loin de là, mais pourtant, on pouvait presque dire que les deux femmes se ressemblaient.
La Guerre semblait quelque peu surprise. Il était rare que lors de ses visites à Nightmare, elle rencontre des gamines des rues comme celle qui se trouvait devant elle. L' éclat de son regard était.... Délicieux. Comme son rire, d' ailleurs. Enyo murmura dans un sourire cruelle :
« - Interressant.
Llewelynn répondit alors, en perdant son sourire, mais gardant un calme exemplaire.
- Qui êtes-vous ?
La Guerre riat bruyamement. Quand elle se calma, elle demanda :
- Tu ne sais vraiment pas qui je suis ?
- Non, murmura Lynn sans ciller. Il y eut une pause durant laquelle la femme et la jeune fille s' observèrent. Llewelynn demanda alors : « Ca te fait plaisir de tuer ?
- Oui, répondit La Guerre, légerement surprise. Cette enfant, malgré son air d' adulte, malgré son sang froid exemplaire, malgré cette lueur inquietante dans ses yeux, elle était restée incroyablement pure.

La Guerre eut alors une idée. Une idée un peu folle, une idée comme la divinité en avait souvent, mais qu' elle ne mettait que rarement à execution. Cette petite avait du potentiel. Ce n' était pas comme les autres gamines de rues, à utiliser une fois et à jeter ensuite. Non, cette enfant là était restée pure malgré ces dents de loups et sa soif de sang. Et elle ne demandait qu' à se salir. Au fond, c' était ce que la divinité avait toujours attendue. Un jouet, un chien, qu' elle pourrait modeler à sa propre image. Un sourire parcouru de nouveau son beau visage. Une lueur s' alluma dans ses yeux, comme un enfant qui venait d' avoir un nouveau jouet, commme un enfant qui voulait faire une bêtise. Et qui ne craignait pas de représailles. Elle allait s' amuser. Oh, que ca allait être drôle...
- Suis moi, murmura la belle femme à l' adresse de Llewelynn. Allez, viens, dit-elle en tendant la main, car l' enfant hésitait. Je vais t' apprendre pleins de choses. tu verras, comme tuer, c'est bon...
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MessageSujet: Re: Llewleynn [Chien-Chien]   Llewleynn [Chien-Chien] Icon_minitimeSam 22 Déc - 0:12

Après cette rencontre, Llew ne fut plus jamais la même. La Guerre lui fit perdre sa virginité avec un homme qu' elle disait comme « le meilleur ». L' enfant connut le plaisir. Le plaisir de la chair, comme le plaisir du sang. La Guerre lui apprit à tuer. La Guerre l' aida à détester ses semblables, lui apprit comment les manipuler avec soin. Comme des poupées fragiles. La Guerre lui apprit aussi à les casser, lui montra la joie que cela pouvait procurer.
Llew était enfin heureuse. Enfin, elle se sentait vivre. La Guerre n' était pas toujours à ses côtés, vaguant à ses différentes occupations, mais revenait toujours la voir. Au départ, Lynn se demandait bien ce que Enyo pouvait bien lui trouver, ce qui la faisait revenir à chaque fois vers elle. La Guerre lui apprit à s' aimer elle-même autant qu' elle aimait La Guerre. Et ces pensées ne vinrent plus jamais la torturer la nuit.
Mais quelque chose manquait à l' enfant. Quand elle comprit ce que c' était, cela lui sembla tellement évident. La Guerre ne l' avait jamais touchée. Jamais. Comme si elle était toujours trop pure pour ca. Comme si elle n' était pas assez bien pour ca. Quand Llew le comprit, elle piqua une crise, une de ses crises de colère qui la prenait parfois, les mêmes que celle qui prenait Enyo. L' enfant se défoula comme elle pût, s' amsant avec des gamins de rues. Mais quand elle rentra dans la demeure préparée par Enyo à son égard, elle ne put trouver le sommeil. D' habitude, le sang la calmait. Mais cette fois là, rien ne pouvait calmer son appétit, si ce n' est la cause de son appétit elle-même.

Enyo rentra quelques jours plus tard. Cela faisait quatre jours que Llewelynn ne dormait plus que quelques heures par nuit, et des cernes noires entouraient ses yeux vert. Elle salua à peine sa maîtresse quand celle-ci passa la porte. Vexée, La Guerre attrapa sa chienne par les cheveux et la placa à genoux devant elle. Llew sourit. Elle appreciait ce genre de traitement, car c' était la manière d' Enyo de lui montrer son affection. Elle regarda sa maîtresse avec ce regard insolent qu' elle aimait tant.
La Guerre l' envoya valdinguer sur le lit, s' assit devant la coiffeuse rouge et se coiffa doucement, regardant l' enfant à travers le miroir.
- Qu' est-ce qu' y a ? Demanda t-elle, fatiguée des caprices incessants de son chien ces derniers temps.
Llewelynn s' avanca vers sa maitresse à quattre pates, en faisant bien attention à ce que de là où elle était, Enyo puisse bien voir le décolleté de son élève. Au regard interressé qu' elle vit dans le miroir, la jeune fille comprit bien qu' elle avait attiré son attention vers sa poitrine.
L' enfant, qui n' en était plus une, descendit du lit avec des mouvements fluides. Sa robe était plus courte que d' habitude, et ses portes-jarretelles furent révélés pendant quelques secondes furtives. Elle entoura de ses bras sa maitresse, placant savament ses seins rebondis contre son dos, et murmura à son oreille : « Faisons l' amour, Enyo ».
C' était la première fois que l' élève appellait son maître par son prénom, et La Guerre sembla apprecier cette touche d' insolence agrémentée avec cette forte odeur de phéromones, et l' air coquin et aguicheur de Llewelynn. La dvinité se leva, sourit, d' un sourire plutôt doux à son chien qui était restée à genoux devant la coiffeuse.
- Il était temps, murmura Enyo en souriant, assise sur le rebord du lit, les jambes légerement ouverte, comme une incitation à l' indécence. Viens, je t' attends.

C' est peut-être parce que Llew peut prétendre être la mortelle qui connait le mieux la divinité insaisissable qu' est La Guerre. Ou bien parce qu' elle l' admire plus que tout autre. Quoi qu' il en soit, La Guerre eut beaucoup de plaisir cette nuit-là, et se jura que celle-là, elle la garderait lontemps à ses côtés. Un bon chien, on ne l' abandonne pas, si ?


Mais le destin aime se jouer de ces protagonistes, comme La Guerre aime elle-même jouer avec ces mortels, comme Llewelynn aime elle-même jouer avec ses semblabes.
Quelques semaines passèrent. Enyo passait beaucoup de temps dans son refuge, passait des journées entières à se prelasser sous les couettes. Llewelynn était comblée, et La Guerre était elle-aussi d' une humeur presque agréable. La vie semblait douce et paisible.
Mais quand deux femmes telles que Llewelynn et La Guerre cohabitent ensembles quelques semaines durant, il y a obligatoirement quelques étincelles. Elles peuvent tout aussi bien s' éteindre une fois allumés, que grandir, et prendre aussi vite que si elles avaient pris sur des brindilles asséchées...
C' était une soirée comme les autres, mais La Guerre comme son élève commencaient toutes deux à s' ennuyer de ce quotidien monotone. Sentant sa maîtresse d' humeur à jouer, Llex décida de corser un peu le jeu, et déclencha une dispute. Elle n' aurait jamais cru que cela prendrait aussi bien. Jamais cru qu' elle se serait retrouvé dans la rue à une heure qu' elle ne saurait nommé, ayant perdue toute notion du temps. Elles auraient dus se réconcilier sur l' oreiller, chacune se défoulant sur l' autre, et auraient dus se réveiller heureuses et fatiguées, avec sur leurs dos diverses traes de morsure, de griffures.


Mais au lieu de ca, Llewelynn se réveilla au petit matin. Enfin, c'est ce qu' elle croyait. Elle se leva, chercha du regard la lumière que les rideaux auraient du filtrer. Mais le soleil qui l' aveugla lui fit bien comprendre qu' elle avait passé la nuit à l' extérieur. Les milliers d' odeur qui assomèrent Lynn l' étonna. La jeune fille ouvrit difficilement les yeux. A travers les rayons ébloussants du soleil, elle vit bien qu' elle n' était pas à Nightmare. Alors où ?
Ses habits étaient déchirés, et elle semblait ne pas s' être lavée depuis plusieurs jours. Ses cheveux avaient poussés. Où était-elle ? La rue était déserte, et il y régnait une odeur de propreté insupportable. Lynn ne supporta pas l' idée de rester ici plus lontemps. Elle marcha un peu. Elle allait bien rencontrer quelqu' un qui pourrait l' aider.
La jeune fille apercut des remparts au loin, et se dirigea vers une porte. Elle entendit quelqu' un crier un nom qui lui était familier.
- Enyo ! Hurlait une jeune fille de l' âge de Llewelynn, Enyo !
La chienne de La Guerre se retourna. Sa maîtresse n' était pas la seule à porter ce nom, au fond. Elle continua son chemin, mais l' adolescente eut le malheur de lui toucher l' épaule pour l' arreter. Personne ne lui donnait d' ordres. Llewelynn se retourna, surplombant la jeune esclave de toute sa splendeur et demanda :
- Comment oses-tu me retenir, Esclave méprisable ?
- Hein ? Mais... Enyo, c'est moi ! Insista l' adolescente pleurnicharde.
- Et arrête de m' appeler ainsi ! Je m' appelle Llewelynn!
- Ah... Murmura l' esclave, perdue dans ses pensées. Elle regarda Llew. On m' avait bien dit que ca arriverait... Laisse moi t' expliquer.

Et l' esclave lui expliqua tout. Comment on l' avait retrouvé, un matin, au pied du castel, la crâne fendue, des plaies ouvertes sur le dos, inconsciente. Comment on l' avait receuillie et soignée, comment elle avait travaillée comme esclave pendant deux longues années au Castel. Comment elle avait perdue la mémoire. Le seul mot qu' elle pronocait dans son délire de fièvre qui dura deux semaines après son receuillement était « Enyo ». On avait alors décidée de la nommer comme ca.
- Je vois. Répliqua Llewelynn sans ciller. Comment se fait-il que j' ai retrouvé la mémoire ?
- Eh bien... Hésita l' esclave, apparement gênée. Hier, un bal à eu lieu au château. La Guerre était présente. Tu l' as vue, et tu t'es évanouie. Je crois que c'est ce choc qui t' as fait retrouvée ta mémoire, En.... Llewelynn.
- Adieu, répliqua celle qui pendant deux années avait été la meilleure amie de l' esclave sans s' en rendre compte.

Rien ne tranparaissait sur le visage de la jeune fille qu' on aurait pu qualifier d' impassible. Le garde, qui semblait connaître son histoire, au plus grand désespoir de Llewelynn qui aurait préféré être connu pour de plus glorieuses raisons, essaye de l' arreter. Il n' y croyait pas lui-même, et sa voix tremblait. Si Llewelynn le pouvait, elle aurait eue pitié de lui. Elle l' ignora premièrement, accablée par de plus grandes questions.
Que s' était-il vraiment passé ? Des milliers de questions assaillaient la jeune fille qui marchait fièrement. Les souvenirs se remettaient en place. La veille... Enfin, deux ans plus tôt, une dispute avec La Guerre... Elle s'était retrouvée dans la rue... Avait noyé son chagrin dans l' alcool... Et ensuite, le trou. Elle avait spûrement dut se faire tabasser par des chercheurs d' esclaves, ces êtres bajects qui n' avaient aucun pouvoir mais qui se rasasiaient du peu qu' ils arrivaient à puiser, c'est à dire capturer des humains en bonne santé pour les vendre comme esclave à de riches courtisans. Au moins, elle avait été vendue au Castel.
Le garde commencait à devenir gênant. Ils étaient maintenant trois à lui courir après. Bien qu' ils connaissaient apparement son histoire, ils devaient avoir pour ordre de ne laisser sortir aucun esclave, même ceux qui n' en étaient pas réellement.
Llewelynn se retourna et leur fit face. Son regard assoifé de sang et ses dents aiguisées luisaient au soleil. L' exaltation avait envahi tout le corps de la jeune fille. Ah, qu' il était bon de renaître. Un sourire cruelle parcouru son visage glacée de deux années d' hibernation. D' un mouvement de tête discret, elle invita les trois hommes à la rejoindre.
Tâtant sa cuisse, elle fut soulagée de sentir sa dague. La dague qu' Enyo lui avait donné. Enyo... Llew prit l' arme a une vitesse fulgurante, décidée d' en finir le plus rapidement possible pour retourner vers sa maîtresse bien aimée.

Llewelynn se demanda comment ces trois bambins pouvaient avoir le poste de garde. Leurs corps avaient gardés des formes d' adolescents. L' un était même plutôt beau. Quel domage. Tant de jeunesses gachées... Mourir puceau, c'est vraiment nul. Elle aurait pu au moins les faire mourir en homme, pensa Llewelynn, compatissante avec ces dernières victimes. Elle avait gagné le combat aussi vite qu' il avait été commencé, et sa soif de sang n' était pas rasasiée. Ben oui, après une hibernation de deux ans, un chien a bien besoin d' un peu de croquettes... Or dans le cas de Lynn,le sang, le sexe et tout ce qui s' ensuit sont sa nourriture. Elle soupira, passa la main dans ses cheveux bien trop long à son goût.
Elle goûta un peu du sang qui coulait de son arme mortelle, puis se baissa et ramassa un peu de sable épargné par les effusions de sang et frotta la lame de sa dague, pour sécher le liquide délicieusement poisseux. Non, dicidément, murmura la jeune fille en s' observant rapidement dans le reflet de la lame toujours aussi bien aiguisée, ils étaient bien trop long. D' un geste sec et décidé, Llewelynn coupa ses cheveux dorés qui lui allaient jusqu' à l' épaule alors. Le vent parvient enfin jusqu' à son cou, et la jeune fille soupira.
Les cheveux courts sont vraiment beaucoup plus agréable. Et elle pourrait toujours, comme à son habitude, finir par rajouter des postiches. Pour cela, elle garda les longues mèches blondes et les fourra dans son sac en cuir, qui semblait ne jamais l' avoir quitté. Oui, elle se sentait mieux. Revivre, même.

Et les cheveux courts, c'est ceux que prefère Enyo sur elle... Sourit la chienne en marchant. Enfin, elle allait revoir sa maîtresse. Cela faisait si lontemps. En pensant à elle, la vampire ressentait bien ces deux années perdues.
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MessageSujet: Re: Llewleynn [Chien-Chien]   Llewleynn [Chien-Chien] Icon_minitimeSam 22 Déc - 0:13

IV.Autres

Inventaire : De nombreux habits aux formes étranges, robes longues dans les tons violets et noirs, jsuqu' au haut montrant presque ses têtons pour passer à des gants dentelés, Llewelynn a un style qui lui est propre. La vampire ne quitte jamais son sac en cuir qui contient diverses babioles, tels des mèches de cheveux de La Guerre comme des siennes, des lentilles de contact, quelques boutons et des carrés de chocolat en cas de carence sucrée. Elle a aussi des portes-jarretelles. De la lingerie fine. Du café, dont elle se délecte, seul chose non sucré qu' elle aime, qu' elle adore même.
Style de Combat : Elle ne se bat plus. Elle garde cependant toujours sur elle une dague que lui a confiée La Guerre, et est capable de se défendre.
Relations :
Llewelyn admire La Guerre. On ne pourrait pas ici parler vraiment d' amour. Non, c'est plus de l' admiration sans fin. La jeune fille pourrait très bien tomber amoureuse un jour, je crois que pour autant, elle continuerait de voir sa maîtresse. Pour le plaisir qu' elle lui donne comme pour tous ses enseignements si précieux, Llew est plus qu' attachée à cette déesse.
Jamais cette dernière ne lui a fait mal, jamais elle ne l' a blessé. Elle l' a simplement prise sous son aile pour lui enseigner son savoir immense. Llew lui en est tellement reconnaissante, et veut à tout prix faire plaisir à la divinité. L' ancienne sorcière est plus que consciente que tous les droits qu' elle a, coucher avec cette femme superbe, suivre les enseignement d' une divinité, et être si intime avec elle, ont été chérement acquis et sont une bénédiction. Mais ce n' est pas pour autant que la jeune fille fera tout en fermant les yeux. Elle n' est pas dressée, reste un chien sauvage, aime jouer avec le feu, jouer avec La Guerre. Et c'est ce qui plait tellement à Enyo.
Avec les autres, Llew n' a pratiquement aucune relation et se tient le plus possible éloigné de la vie et des gens. Cela dépend de son humeur, lunatique, elle passe de la gentillesse calculée à une méchanceté si pure, et tout ceux qu' elle a rencontré plusieur fois la fuient. Ce n' est pas une persone très fréquentable, d' autant plus qu' elle ne se sépare presque jamais de La Guerre. Manipulatrice, elle arrive cependant à jouer avec les gens quand elle en ressent le besoin.


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MessageSujet: Re: Llewleynn [Chien-Chien]   Llewleynn [Chien-Chien] Icon_minitimeSam 22 Déc - 20:43

'Tention : Impossible d'être plus belle que Titanya Evil or Very Mad ^^

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