Nyùtë ( Vampire )

VAMPIRE

I.Informations Préliminaires :

Nom : Aucuns
Prénom : Nyùtë ( Se prononce Nuite )
Surnom : On n’ose lui en donner aucuns…
Âge : 350 années.
Magie : Inutile lorsque l’on sait parfaitement manier les armes.
Poste : Courtisane.
Génération : 4 ème Génération
Lignée : Méphystophélique
Espèce Humaine
Origine : Proche de Neverlone, dans une villa détruite de nos jours.
Clan : Loyal

II.Informations du personnage :

Description Physique

A la silhouette svelte, un penchant plus frais, aux iris bigarrées de fibres ocrés et incarnat, une peau velouté pâle, de longs doigts fins, de plaisantes jambes élancées, un visage triangulaire, une chevelure charbonnière… Derrière ce démon d’une beauté opaque se cache un caractère psychopathe translucide. Ses yeux discrètement tirés vers l’arrière laissent apparaître plusieurs éclats tentateurs dorés. Un rictus d’une repoussante réprobation la suit en permanence dés que la vampire manifeste sa mauvaise humeur. Elle admire ses supérieurs, c'est-à-dire l’Impératrice et l’Empereur, et espère un jour égaler leur haine. Un voile écarlate lui cache amoureusement le cou, tandis que le reste de son anatomie époussette une robe moulante noire sans qu’aucuns reflets ne projettent leurs images sur le tissu. Ses lèvres adoptent une jolie teinte orangée, et ses paupières, un brush brun. Deux merveilleuses canines laiteuses empire son joli minois dés qu’elle découvre un sourire menaçant, souvent coloré d’une agréable couleur vermeille. Ses cheveux sont parfois rattachés en une interminable natte, dont quelques mèches suspendent vers l’avant. De longs cils parfaitement alignés soulignent sa détermination à devenir une schizophrène de renom… >

Description Morale

Nyùtë apprécie l’atrocité qui peint à partir de sang de magnifiques tableaux sanguinaires. Elle préfère réfléchir longuement (Sauf si la situation lui en empêche toute méditation, dans ce cas, elle improvise ^^ *A coup de dague…Bref, vous voyez ou je veux en venir *), et agit par la suite. Mature, imprévisible, mord la vie à pleines dents (Dans le sens propre du mot ^^), d’une éternelle malice, un tantinet impulsive, suspicieuse, facétieuse… Nyùtë jouit de la douleur des autres, de leur supplications, leurs râles (Ridicules pour certains, il faut l’admettre…), le doux murmure du cœur encore battant de l’individu, le gloussement du sang qui coule à flot, le corps qui se vide de son liquide subsistant. La jeune femme préfère évacuer l’hémoglobine de sa victime en empoignant son cou, introduire lentement ses crocs, les retirer, verser de l’eau chaude par-dessus la plaie, et recueillir indifféremment le liquide en respectant au minimum la peine de sa prise dans un amusant silence. Toucher ces peaux rugueuses, non merci. Dés que le fluide est récupéré, elle abrège leurs souffrances lorsqu’elle est pressée. Sinon, elle les laisse giser au sol, et les prédateurs nocturnes s’occuperont du reste. Elle écoute lorsqu’elle en a l’occasion de la musique classique/baroque, et fait payer bien cher ceux qui critiquent ses goûts.

Particularité Physique et/ou morale : Des regards aux lueurs injectées d’or au moindre doute.

III.Biographie

La naissance de l’enfant se passe dans les meilleures conditions hygiéniques, la mère reste soucieuse en caressant amoureusement sa main réconfortante et chaude. Le père réprime un sourire doté de canines, plongeant profondément ses yeux grenat dans ceux de la petite fille qui gazouille continuellement en palpant ses chevilles. Le couple put sortir du bâtiment en emportant leur rejeton. Il décida de le baptiser « Nyùtë », un nom qu’il désirait « original ». La gamine, tout au long de son parcours vitale, parvint à suivre des cours presque normaux. En effet, certains élèves s’imaginaient que, née de parents vampire, elle était capable de s’attaquer à eux. Leurs propos n’étaient pas justes… Mais pas faux non plus. Sa mère fut obligée de céder à la morsure du père lors de la croissance de la fille pour que celui-ci ne soit pas tenté de boire l'humaine qu'était sa femme.
C’est à l’avènement de son 7ème anniversaire qu’elle croisa, en rentrant des cours, son père et sa mère en pleine conversation. Celui-ci murmurait à voix basse des paroles de mauvais augure à son épouse qui semblait culpabiliser. Finalement, elle accepta « le contrat » en hochant la tête après une longue réflexion. Nyùtë fut remarquée dans l’instant suivant leur discussion, et son parent paternel vint s’accroupir face à elle, escortée de sa mère de près. Il entonna d’une voix mielleuse le sujet troublant :

- Ma chérie, tu sais qu’aujourd’hui, tu viens de fêter tes 7 ans…
- Oui, toute la classe me l’a souhaité !
- C’est bien. Cependant, nous également nous voulons t’offrir une chose inestimable que seuls tes parents peuvent te procurer. C’est le don, tu vas bientôt devenir comme nous.
- Mais… Je suis déjà comme vous.
- Oui, mais pas entièrement. Et nous sommes là pour compléter. Bref, avant, promets-moi de ne pas crier, de ne pas te débattre pendant le don…
- Sa va me faire mal ? Mais…
- Tu fais confiance à Papa ?
- …Oui.
- Alors, suis-moi, on va aller dans le salon. Reste ici Sylvie, c’était déjà dur à accepter, je te déconseille d’y assister. Prépare seulement le pansement.

La dénommée Sylvie eut une moue approbatrice et repartit dans la salle de bain, non sans adresser un dernier mot à sa petite fille : « Sois courageuse. ».
On percepta le claquement d’une porte, un pesant silence dans toute la demeure, puis, un unique et déchirant cri :

- MAMAN !!

Sylvie plongea ses ongles dans le bandage en crispant les paupières. Dire que sa douce hurlait de terreur, et qu’il était impossible d’intervenir. Ce fut la voix de son époux qui brisa ce calme angoissant :

- Tu peux venir. N’oublie pas la lanière ! Elle saigne un petit peu plus que je ne l’avais prévu.

La mère accourut au triple galop, se heurta de justesse à son fiancé puis, d’une voix tourmentée, l’interpella :

- Où est-elle Antoine ?

Il désigna quelque chose blottit au fond du canapé, ses petits bras entourant ses jambes rapprochée vers le buste, injectant de tout son être des coups d’œil rancuniers. Son cou était percé de deux blessures dont le sang s’évidait abondamment. Rien n’avait été modifié sur son apparence, si l’on mettait à l’écart cette amertume qui broyait les yeux de l’enfant. Sylvie s’approcha d’elle en appliquant le soin. Suite à ça, Nyùtë n’avait toujours pas bronché. Ses parents, après une contorsion désolée, la laissèrent seule dans la salle en espérant qu’elle leur pardonnerait. Après quelques jours, elle s’excusa et continua sa vie comme tous les autres vampires… Elle quitta le domicile vers l’age de 20 ans après de bref adieux.

IV.Autres

Inventaire : Poignard et Dague, une gourde de sang frais ( C’est trop de temps à perdre de s’attaquer aux gens, mieux vaut-il être prévoyant. J ), et un collier banal constitué de pierreries aux couleurs vermillon, pourpre.
Style de Combat : Apprécie nettement la souffrance, et tient personnellement et le plus longtemps possible ses proies en vie tout le long de son agonie.
Relations : En favorisant l’affliction, il est clair qu’elle n’en possède pas du tout.

VALIDE

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